L’âme des lieux passe par ce qui les habite
Chez Collection d’Irène, chaque maison est un refuge… mais aussi une galerie vivante. Nous avons voulu que l’art s’invite avec discrétion, qu’il surprenne sans jamais s’imposer. Il est là, dans le trait d’une plume, la texture d’un tapis, la lumière d’un tableau, ou encore la patine d’un meuble ancien. L’art ici n’est pas décoratif : il est identitaire.
Chez Collection d’Irène, l’art est une présence discrète, mais essentielle. Nous avons sélectionné des artistes dont les univers résonnent avec les lieux, les matières, les saisons. Ils ne sont pas seulement exposés ici, ils habitent les maisons, comme un fil invisible qui relie les murs, les regards et les émotions.
Diplômée des Arts Décoratifs de Paris, Laura a inventé un langage visuel unique, fait de lettres dissimulées, de couleurs vives et d’intuition graphique. Ses tableaux sont des énigmes poétiques : chaque mot se dévoile peu à peu, comme un message personnel glissé dans le décor.
Ses œuvres se cachent un peu partout dans nos maisons. Un couloir, une chambre, un palier… À vous de les trouver, et de deviner ce qu’elles vous murmurent.
Avec ses aplats subtils et ses textures minérales, Marie Amédro peint la nature comme on célèbre un souvenir d’enfance. Ses œuvres mêlent force géométrique et délicatesse sensorielle, créant un dialogue silencieux entre l’arbre, la pierre et la lumière.
Accrochées dans les chambres du Chalet Irène, ses toiles captent les nuances de la montagne, comme si elles respiraient avec elle.
Claudia a longtemps dessiné pour la mode, avant de revenir à un geste plus libre, plus intime. À la plume et à l’encre, elle trace des silhouettes, des instants, des émotions pures. Chaque trait est franc, expressif, vibrant.
Ses dessins habitent les recoins de la Maison Irène comme des confidences laissées sur les murs. On croit entendre le souffle derrière la ligne.
Photographe de renommée internationale, Floriane capte l’intériorité, la fragilité, le mystère. Elle photographie des femmes, des perspectives, des fenêtres ouvertes sur d’autres mondes. Ses clichés suspendent le temps.
À la Maison Irène, ses œuvres dialoguent avec l’architecture et la lumière. Elles invitent à regarder autrement — et à se regarder aussi.
Artiste urbain originaire de Caen, Simon a signé une œuvre unique dans l’annexe de la Maison Irène : un graffiti brut et joyeux, hommage au jeu, à l’enfance et à l’instant.
C’est une fresque vive, colorée, spontanée — un écho graphique aux rires qui résonnent autour de la table de ping-pong. Un clin d’œil libre à l’art comme terrain d’expression immédiat.
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